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Sidonie au Japon

LE 10 AVRIL AU CINEMA

Sidonie Perceval, écrivaine française confirmée, pleure son mari décédé. Invitée au Japon pour la réédition de son premier livre, elle est accueillie par son éditeur local qui l’emmène à Kyoto, la ville des sanctuaires et des temples. Alors qu’ils voyagent ensemble à travers les fleurs du printemps japonais, elle s’ouvre peu à peu à lui. Mais le fantôme de son mari suit Sidonie: elle devra enfin se défaire du passé pour s’autoriser à aimer à nouveau.

L’audition

LE 27 MARS AU CINEMA

Quatre demandeurs d’asile déboutés revivent l’audition sur les raisons de leur fuite et mettent ainsi en lumière le cœur de la procédure d’asile. Les personnes interrogées parviendront-elles cette fois à décrire leurs expériences traumatisantes d’une manière qui satisfasse aux critères officiels? Le film donne un premier aperçu de la délicate situation de l’audition et remet ainsi en question la procédure d’asile elle-même.

Les Paradis de Diane

LE 20 MARS AU CINEMA

La nuit de la naissance de son premier enfant, Diane s’enfuit de la maternité. Elle aurait pu faire partie de ce clan : maternelle, instinctive, puissante, mais assiste à l’effondrement de ses idéaux. Débute alors pour elle un voyage, source d’une transformation intérieure et extérieure.

Le Vent qui siffle dans les grues

Algarve, fin des années 90. Suite au décès de sa grande mère, Milene – jeune femme forte et pleine de vie malgré un léger handicap mental – partage sa vie entre sa famille de notables et une famille capverdienne qui lui permet de rester vivante, rencontrée au décès de son aïeule. Le vent qui siffle dans les grues nous plonge dans l’univers de deux familles sur fond de l’histoire récente du Portugal.

Mon pire ennemi

Mojtaba, Hamzeh et Zar et d’autres ont subi des interrogatoires idéologiques en Iran, à différentes périodes de leur vie. Le réalisateur leur demande de l’interroger, lui, tel que pourrait le faire un agent de la République islamique. Il aimerait que le vrai tortionnaire en Iran se voit à travers le film comme dans un miroir. L’expérience violente de se mettre réellement dans la tête du bourreau les confronte à ce qu’ils sont prêts à faire et aux limites du projet lui-même.